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Ah, Tabata Bonardi, quel parcours fascinant ! Pour commencer, savez-vous qu’elle est née en 1987 à Rio de Janeiro ? C’est fou comme une jeune femme brésilienne a su conquérir le cœur de la gastronomie lyonnaise, cette ville où la tradition s’invite à chaque plat. Elle a ce truc, cet éclat, cette passion qui vous saute aux yeux.
Ce qui m’a toujours marqué chez elle, c’est cette capacité à bousculer un milieu très masculin, avec douceur et détermination. À 36 ans, elle est devenue la première femme à diriger un restaurant Paul Bocuse. Oui, vous avez bien lu, un exploit qui n’est pas passé inaperçu dans le monde culinaire ! Et on connaît tous Paul Bocuse, ce monument de la cuisine française.
Je me souviens avoir lu quelque part qu’avant de se lancer dans la cuisine, elle avait des rêves très éloignés de ce milieu : la médecine ! Une vraie tournée des surprises : jeune, brillante, elle décide tout lâcher et traverser l’Atlantique pour apprendre le vrai métier de ses rêves à Lyon. Quelle audace.
Vous verrez dans ce portrait que sa fortune, bien sûr, est relative au monde de la gastronomie, mais sa richesse réelle se mesure surtout dans sa créativité et sa volonté de faire vivre une cuisine française épurée, vivante et respectueuse des produits.
Qui est Tabata Bonardi ? Origines et identité publique
Tabata Bonardi, c’est d’abord une jeune brésilienne d’origine carioca, née en 1987 à Rio de Janeiro. Son identité publique s’est construite autour de son parcours atypique : passée de la faculté de médecine au Brésil à la brigade d’un temple culinaire lyonnais. Elle incarne la ténacité et le respect des traditions culinaires françaises, mais avec une touche de modernité et d’audace qui la démarque.
La première impression que vous aurez en la découvrant, c’est une femme pleine d’énergie et de conviction, qui sait parfaitement où elle va, malgré un chemin semé d’embûches. À Lyon, ville où elle s’est installée jeune, elle a su faire sa place via un apprentissage rigoureux à l’Institut Bocuse, où elle a obtenu un diplôme très prisé.
Elle ne s’est pas arrêtée là : elle a aussi donné des cours dans cette école, avant de faire ses armes chez des chefs étoilés. Son nom a commencé à circuler quand elle a été demi-finaliste du prestigieux concours de Meilleur Ouvrier de France en 2010. Bref, elle ne s’est pas contentée d’être un joli visage dans la cuisine, elle a bossé dur pour mériter chaque avancée.
Sa valeur, à cet âge, ne tient pas uniquement dans son taille dans le monde de la gastronomie, mais dans cette capacité à combiner savoir-faire technique et sensibilité artistique – un équilibre que le public adore.
Un destin tracé entre médecine et fourneaux
Alors qu’elle était destinée à une carrière médicale, Tabata a vu ses plans changer radicalement à 23 ans. Imaginez la scène : la jeune fille brésilienne, encore pleine d’espérances pour la médecine, mais déjà fascinée par la richesse des saveurs et techniques de la cuisine française, choisit d’abandonner presque tout pour se lancer dans une aventure nouvelle et incertaine.
Arrivée à Lyon, capitale indéniable de la gastronomie en France, elle s’inscrit à l’Institut Bocuse, l’une des écoles les plus réputées. Là, parmi des étudiants venus du monde entier, elle affine son savoir et découvre les secrets d’une cuisine traditionnelle mais qu’elle aimera revisiter.
Elle passe rapidement à la vitesse supérieure en faisant un passage enrichissant chez Ledoyen, restaurant parisien étoilé, puis travaille avec Nicolas Le Bec à Lyon, expérience dont elle tire encore aujourd’hui inspiration et rigueur.
Je vous avoue que j’ai une admiration intacte pour ceux qui osent tout quitter pour suivre leur passion, et elle en est un bel exemple.
Parcours et succès : de commis à chef étoilé
Tabata Bonardi a gravi les échelons avec une rare pugnacité. De son poste de commis dans un restaurant français au Brésil à la tête du restaurant Marguerite à Lyon, sa route est un exemple d’abnégation. Elle a notamment été la première femme à piloter une maison emblématique du groupe Paul Bocuse, un fait d’armes majeur.
Son passage chez Marguerite, un restaurant situé dans une villa Art nouveau mythique, symbolise bien son approche unique : allier tradition et dépouillement, revisiter la cuisine d’antan dans une version allégée et respectueuse des produits. Sa brigade de 20 personnes la suit avec enthousiasme dans cette aventure.
Son savoir-faire s’est aussi révélé devant du grand public dans l’émission Top Chef en 2012 où elle a terminé quatrième, exposant sa créativité et sa ténacité. Cela a été pour elle une vraie rampe de lancement, lui ouvrant les portes d’une carrière publique bien remplie depuis.
Elle a en fond une table d’ingrédients bien choisie, n’hésitant pas à twister des classiques grâce à la fève tonka, un ingrédient qui étonne et séduit à la fois.
Vie privée : complicité et équilibre familial
Il serait impossible de parler de Tabata sans évoquer son couple avec Ludovic, rencontré dans les cuisines de Marguerite. Ensemble, ils sont un duo de choc qui gère à la fois un restaurant, Les Apothicaires, et une vie de famille bien remplie.
Ludovic et Tabata partagent une vision commune : une cuisine inventive à quatre mains, mêlant créativité et technicité, reflet de leur parfaite alchimie. La jeune maman parle souvent avec émotion du défi de concilier maternité et vie entre fourneaux et salle de restaurant.
Ce mélange d’intensité professionnelle et de douceur familiale est ce qui, parait-il, nourrit profondément leur passion commune. Ils ont fait le choix d’un restaurant à taille humaine, 30 couverts, un véritable cocon où tout est pensé pour l’exigence et l’accueil.
Leur lieu, décoré avec soin, intègre des touches bios, fermentations maison, et une atmosphère cosy qui rapproche clients et passionnés autour de leur travail.
Quelques anecdotes croustillantes sur Tabata Bonardi
- 🥇 Demi-finaliste au concours Meilleur Ouvrier de France, un exploit qui prouve sa technicité
- 🍳 Lors de Top Chef, elle a impressionné par sa capacité à gérer la pression tout en restant inventive
- 💪 Ancienne étudiante en médecine, elle raconte que ce changement radical l’a transformée
- 🥂 Elle a tatoué la devise de Paul Bocuse « celle qui tient le couteau » sur son poignet, un signe fort d’appartenance
- 📚 Les carnets remplis de saveurs de son tour du monde culinaire ont inspiré ses menus
Actualités, projets et collaborations de Tabata Bonardi aujourd’hui
À l’aube de ses 40 ans, Tabata explore avec Ludovic de nouveaux horizons culinaires. Leur restaurant Les Apothicaires à Lyon est devenu le laboratoire d’une gastronomie réconfortante mais aussi un brin dérangeante, attentive aux détails et engagée dans le bio.
Ils ne cessent de repenser leur carte au rythme des saisons et de leurs inspirations, prouvant qu’à un jeune âge, la créativité est souvent la meilleure arme pour durer dans ce métier. La gestion du personnel reste un défi mais leur complicité fait la différence.
Et pour les plus curieux, Tabata a toujours soif d’apprendre et collabore souvent avec d’autres chefs dont vous pouvez retrouver les interviews dans des articles du Figaro ou Voici.
Liste des ingrédients incontournables dans la cuisine de Tabata Bonardi
- 🌿 Produits de saison soigneusement sélectionnés
- 🌶️ Épices venues d’ailleurs, comme la fève tonka
- 🍅 Produits du marché en circuit court
- 🥒 Légumes fermentés maison et pickles
- 🥩 Viandes et poissons préparés avec respect
Quel est l’âge de Tabata Bonardi ?
Née en 1987, Tabata Bonardi est aujourd’hui dans la tranche des 36 à 40 ans.
Quelle est l’origine de Tabata Bonardi ?
Elle est née à Rio de Janeiro au Brésil et s’est installée en France pour se perfectionner en cuisine.
Quel est le style de cuisine de Tabata Bonardi ?
Elle propose une cuisine traditionnelle française revisitée, épurée, qui met le produit au centre de l’assiette.
Avec qui Tabata Bonardi dirige son restaurant actuel ?
Elle gère Les Apothicaires à Lyon avec son mari Ludovic, en combinant technicité et créativité.
Pourquoi Tabata Bonardi est-elle célèbre ?
Elle est la première femme à avoir dirigé un restaurant Paul Bocuse, marquant une étape majeure dans un univers masculin.
